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The devil wants my soul and he's giving me 21 gramms of coke for it


JennyBitch
Tous les articles postés sur ce blog ont été écrits sous l'influence du THC.
A prendre donc au deuxième degré.

Archives du journal


Pourquoi je fuis autant la réalité? Parce que c'est la seule façon de la supporter.

" Ma vie est un désastre mais personne ne le voit car je suis très poli : je souris tout le temps.
Je souris parce que je pense que si l'on cache sa souffrance elle disparaît.
Et dans un sens, c'est vrai : elle est invisible donc elle n'existe pas, puisque nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel "

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missdiamond : SALutttt
missdiamond : koi?
JennyBitch : Quoi?..
missdiamond : :P J'ai du me tromper lol
bluedragonfly : J'ai lu pas mal d'articles. Je crois que t'es un peu mon côté sombre, celui que je n'arrive pas à traduire en mots, qui voudrait tout foutre en l'air, tout sauf l'amour, et vivre une freeparty éternelle...
missdiamond : ^^yo
missdiamond : héééhooo
Tigralicia : On ne vit qu'une fOis, CARPE DIEM :)
Il faut avancer, aller de l'avant, accepter, recommencer, continuer, oublier, ne pas ressasser les amours du passé, ne pas discourir sur les malheurs de nos vies, s'en faire une armure, se les mettre dans la poche, s'en servir à bon escient pour se construire, pour se forger un caractère une personnalité, pour devenir soi...
missdiamond : T'Es ouuuu
JennyBitch : J'ai plus vraiment la notion du temps .. je reviens 'vite' mais je reviens..
missdiamond : hurry up!labitche :) Mais prends ton temps aussi!
JennyBitch : Merci de ta patience, et de continuer à me suivre, ça me touche..
J'ai posté =)

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Mardi 31 Mars 2009
BitterSweet
"C'est donc ton dernier jour avec moi, je te remercie de ce que tu as apporté, j'te souhaite vraiment de continuer et de réussir Inch'Allah, mais surtout fait bien attention à toi.
- Merci d'avoir été ce que tu as été et merci pour tout le reste, toi même tu sais..
- Y'a pas de quoi.. Prends soin de toi.."

Et si j'en avais eu la capacité, j'aurais pleuré.


_En fait, la vie n'est qu'une succession d'histoires reliées, et ces histoires doivent toutes avoir une fin pour que commence la suivante, puisque celles du même type ne peuvent se superposer.
- La vie, c'est un recueil de nouvelles, il faut bien en finir une pour commencer une autre.
En fait, la vie c'est un roman dont nos aventures sont les chapitres et tourner la page ne veut pas dire refermer le livre, tourner une page, c'est pas si grave.

Ecrit par JennyBitch, à 21:27 dans la rubrique "Actualités".
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Lundi 30 Mars 2009
Some days, I'm a SuperBitch
J'ai changé mon titre de journal parce que c'était une phrase de V. Despentes cité par ma chère Morgane destinée à Blue.
Mais Blue n'étant plus ce qu'elle était, il était temps de changer, d'avancer.

Aujourd'hui, j'ai passé une bonne journée.

J'essayais toujours d'avoir un moment où l'on n'était que tous les deux mais je n'y arrivais jamais, je ne me l'accordais pas.
Alors quand j'étais dans son bureau pour des caractéristiques purement pratiques et techniques, assise devant lui, il me dit "Je change totalement de sujet, mais je dois te parler. Je ne supporte pas l'injustice, c'est pour ça que parfois j'ai le mauvais role mais je dois essayer tant bien que mal que tout soit juste. C'est dans ma religion.
- Qu'est-ce que j'ai fait?
Je le regardais droit dans les yeux, j'avais peur de ce qu'il allait me dire.
- Là je te parle en tant qu'ami. Les amis, ce sont les gens qui tiennent à toi et qui te protègent. Je tiens à toi et je veux te protéger.
OMFG.
Je continuais de le fixer, ne décrochant pas un mot, je me suis soumise à lui, je lui ai tout montré la première fois, je ne pouvais plus revenir en arrière.
Quand il finit par tout m'avouer, avec le plus de tact possible, je ne pouvais presque que le prendre bien.
Mais il arrivait tellement bien à tout percer en moi que je me sentais obligée de lui dire tout ce que j'avais sur le coeur, alors qu'en temps normal je me serais renfermée à la seconde, ne laissant rien transparaître.
Mais je ne pouvais lui dire ce que je ressentais réellement, à quel point je tenais à cette nouvelle protection, à quel point je lui accordais de l'importance.
Je me sentais comme une gamine qui a fait un bêtise devant quelqu'un de plus grand qui essaie, malgré les erreurs, de nous guider.

Alors on a parlé religion. D'une parce que c'est un sujet intéressant, surtout avec lui, et parce que ça me permettait de le regarder, de le regarder me regarder, de pouvoir le fixer à mon aise, ça me permettait d'avoir un tant soit peu d'importance.
Puis on a ri, plaisanté, regardé Bip Bip se faire enfin attraper par Coyotte sur Facebook.
Puis on a parlé un peu de lui, de ce qu'il traversait, de mon avis pour enfin parler presque de nous. Ou plutot de lui & moi ensemble.
De ce qu'il s'était passé, de comment c'était perçu, des petites bêtises de trop, de l'intimité qui me tenait à lui.
"J'voulais juste remettre quelque chose au clair, crois pas que je suis touchée si facilement, je t'ai avoué que j'étais émotive, c'est quelque chose que je ne révèle que très rarement, et une fois quand tu m'as demandé si je jouais un rôle avec toi, je t'ai répondu "bien sur", alors que tu es bien la seule personne ici à qui je me montre réellement. Je voulais juste que tu le saches.."
Il m'a lancé un sourire teinté de compréhension pour qu'on finisse par dériver le sujet.
"Tu vois, ça fait une heure et demi qu'on parle ensemble, c'est obligé que les autres pensent "Il veut la gérer"".
- Alors que c'est déjà fait. *sourire*
- Mais ça nous, on le sait, nous on sait pourquoi,
nous on est des vrais.

Il arrivait à faire resortir le meilleur de moi même juste en me parlant, je dus dissimuler mon sourire en sortant de son bureau, j'aurais voulu encore le remercier.
Lui dire à quel point ces courts et rares moments passés ensemble, juste tous les deux, m'avaient fait du bien, comme cela m'avait fait avancer, comme je sortais grandie de nos conversations, de tout ce que j'apprenais, de tout ce que j'en venais à ressentir pour lui, je lui clamait silencieusement sa protection, j'en venais à me soumettre totalement, et à accorder toute ma confiance, tout mon coeur, toute mon âme, tout ce que je pouvais donner..
Je me contentais d'un sourire, je savais que certaines choses que je ressentais étaient partagées et c'est bien tout ce qui comptait.


Ecrit par JennyBitch, à 20:51 dans la rubrique "Actualités".
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People, happy or not, join us!
J'accorde autant d'importance au fond qu'à la forme, surtout quand ne pas réussir n'est plus une option.

Fuck I'm an addict.

Je suis une droguée des sorties, une dépendante de l’étourdissement, une militante contre la routine, une habituée des improvisations, une camée de la non-solitude, une intoxiquée des échappatoires, une toxicomane des évasions, une accoutumée des issues.

You're a freak and I knew it.

Elle m’a lancée un regard puis un sourire, et a continué son chemin. J’étais tellement estomaquée que je ne me souviens même pas si je lui ai rendu son sourire. Elle était mienne et quand elle est partie, à mes yeux nous étions mortes ensemble. J’avais survécu en fait, mais elle.. dans ma tête, si elle avait repris sa vie, c’était loin de moi, je pouvais pas imaginer qu’elle pouvait vivre à côté de moi sans me voir, sans prendre soin de moi.


"Et je me souviens que j'avais hâte qu'elle parte, hâte qu'elle sorte de ma vie pour que je puisse enfin la regretter à mon aise."
[F.B.]

Ecrit par JennyBitch, à 00:34 dans la rubrique "Actualités".
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Dimanche 15 Mars 2009
I might feel a less of love
A force de paraitre, j'oublie presque d'être.

Sauver les apparences, à tout prix.

Se lever, Darty, rentrer, dormir, sortir, fumer, dormir.
Je viens de résumer une semaine.

Et puis, il y a le premier "Je t'aime".
"Je sais que ça fait qu'un mois et une semaine qu'on est ensemble mais j'suis trop bien avec toi ..
- Mais?
- Je t'aime."

Il faut que je lui dise "Je t'aime aussi", il faut que je me force, il faut que je le dise parce que je le pense, parce que j'ai envie de lui dire, même si ça écorche, même si ça fait mal quand ça sort, même si c'est dit trop bas, il faut le dire..
Je t'aime aussi.

Dérivation du sujet ;

" Ami, regarde moi j'ai le coeur qui renverse
Et la mémoire de ses yeux qui me collent à la peau, [..]
Que je meurs à l’instant si l’envie me reprend
De remettre ma tête dans la gueule du serpent,
De me laisser encore crucifier le cœur
Pour un joli sourire au parfum de leur fleur! "
J'aurais sincèrement pensé que tes 21 ans, on les fêterait ensemble.
J'te renvoie un an en arrière, on ne se connaissait pas encore, deux mois après tu es entrée dans ma vie, pour la changer sûrement pour encore très longtemps.. J'te renvoie à tous nos souvenirs parce que j'y pense, j'te souhaite de réussir ta vie du profond de moi même, j't'avais dit qu'il y aurait une partie de moi qui t'aimerait tou-jours, mon coeur est tatoué à ton nom Gladys, je te souhaite un très joyeux anniversaire.


Ecrit par JennyBitch, à 21:03 dans la rubrique "Actualités".
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Dimanche 08 Mars 2009
It's the wrong place to be thinkin' at you
"Je m'étais toujours demandé pourquoi tu avais cette attitude si "dépravée", au début je m'étais dit que c'était un besoin d'exister mais en te connaissant, j'me suis rendue compte que tu avais un caractère assez fort alors un tel besoin de ne se justifiait pas, mais maintenant que je sais ce qui t'est arrivé, je comprends mieux.
- Bah bien sur, tu crois quoi? J'suis lucide sur moi-même.. j'sais très bien d'où ça part mais j'sais pas où ça va.."


Quand j'étais petite, j'étais sage, gentille, obéissante, et avait de bonnes notes. Déjà un peu rebelle mais ça ne se remarquait pas. Un peu de caractère mais pas affirmé et un peu timide.
Ellipse.
Fille délurée qui repousse ses limites tant qu'elle peut. Jouer devient un mode de vie. Aller toujours un peu plus loin, un plus vite.
Et nan, cette dépravation n'est pas entièrement due à mon passé.
Plus jeune, j'étais hyper-sensible, sur-émotive. Le moindre détail me touchait en plein coeur, tout avait de l'importance et j'étais suceptible à chaque chose qui pouvait me blesser un tant soit peu. Alors je me suis endurcie comme j'ai pu, plus rien ne devait me toucher. Alors j'adopte cette attitude j'm'en-foutiste, avec un caractère trempé et des principes/valeurs définies. Pour ne pas montrer que quelque chose me touche. Parce que quand on ne voit pas, c'est un peu comme si ça n'existait pas..

 _C'est bizarre quand même. Elle me donne tout l'amour dont j'ai besoin, je suis enfin rassurée, elle est attachée à moi et m'apporte tout ce qu'il faut. Alors pourquoi quand je suis avec elle, je suis mieux que bien mais quand je ne la vois pas, elle ne me manque pas? Parce que tu n'es pas amoureuse. Non, pas au bout d'un mois, quand même.
Mais j'ai la sensation de ne pouvoir lui donner aucun amour, je suis comme froide, tombée dans coma sentimental avec anesthésie de l'attachement et des émotions.
J'voudrais lui donner ce qu'elle désire mais j'y arrive pas. Ma barrière de protection est infranchissable pour le moment.
M'en veux pas de ne pas te montrer mes sentiments, mais on m'a pas appris, je sais pas le faire et toutes les fois où j'ai essayé, j'me suis cassée la gueule..
J'me sens gelée de l'intérieur, incapable de sortir de cet état hédoniste, inapte de montrer quoi que ce soit qui ressemble à une émotion, mais j'aime être avec toi.. tu me rassures, tu prends soin de moi et j'ai souvent envie de te dire Je t'aime.

Ton absence me fait froid dans les veines.

Ecrit par JennyBitch, à 02:04 dans la rubrique "Actualités".
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Lundi 23 Février 2009
I'm cold inside
Mes mains tremblent, je range sans ranger, je déplace certaines choses à une place à laquelle elles n'étaient pas.
Un Lexomil.
Mon iTunes est en mode aléatoire, je banis toutes les chansons qui peuvent me rappeler quelque souvenir douloureux ou les chansons tristes.
J'angoisse encore et encore.
Et cette obsession pour ce bracelet que je ne retrouve pas.
Devant moi, il y a la photo de ma princesse, avec du tabac dessus.
Je ne voulais pas rouler, mais j'étais trop stressée.
J'ai fermé la porte à clé, ouvert la fenêtre. J'ai jamais roulé si vite, si bien.
Je veux à tout prix me calmer, j'en viens à m'arracher les cheveux.
Ma chambre est un bordel, et l'odeur qui en ressort est celle d'un cendrier froid.
Ouvre la fenêtre, ici on meurt.
Je veux juste me calmer.
Je connais parfaitement les raisons de mon angoisse. Malheureusement, elles sont rationnelles.
Et, c'est ça qui est affreux.
Je me répète que j'ai besoin d'aide mais j'ai les personnes pour m'aider : famille, amis, psy.
Mais ça suffit pas.
Je ne voulais pas fumer avant le diner.
Il faut absolument que je retrouve ce bracelet.
Il faut que je fasse mon travail.
Il faut que je trouve une entreprise pour l'an prochain.

Mais bordel où j'l'ai foutu?!
J'suis en train de devenir folle, je fais une obsession.

Je m'enfonce les ongles dans le bras, j'ai besoin de me réveiller, ce n'est qu'un mauvais cauchemar, je ne sais pas ce qui a déclenché une crise d'angoisse pareille.
J'ai voulu appeler ma princesse mais hors de question qu'elle m'entende dans cet état.

J'ai trop de choses dans la tête, je ne sais par où commencer pour les trier.
Trop de bordel et je ne sais par où commencer pour ranger.

Ma chambre est à l'image de l'intérieur de ma tête : rangée en apparence, le bordel dans les coins.

Il faut que ça sorte, j'ai peur sans savoir de quoi, j'ai froid & chaud.
J'essaie de relativiser mais c'est pire que mieux, je ne m'en sors pas.

Ecrit par JennyBitch, à 20:52 dans la rubrique "Actualités".
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Dimanche 22 Février 2009
Mademoiselle devient folle avec ses amis intimes
--> et bim, et biim
[Mon conte de fées s'est stoppé net. Comme ça. (et bim, et biiim).
Ca n'a pas piqué, ça n'a pas fait mal, ça ne m'a pas mise en colère.
Parce qu'à la seconde où ma princesse fut un retournement de situation, je savais déjà que je me battrais jusqu'au bout, qu'importe le prix. J'allais réparer ça. Je n'abandonne pas, c'est pas dans ma nature.
Alors j'ai pris de la colle et j'ai recollé les morceaux, en ajoutant un petit truc nouveau.. la vengeance.
Ne pas la perdre, oui, me faire marcher sur les pieds, non.
J'aime le compliqué, ne m'en voulez pas.

Elle dit qu'elle tombe amoureuse.
C'est l'amour futile et mielleux du début.

Et tout ce que vous pourrez dire, et tout ce que vous essaierez de faire n'y changera rien parce que personne ne sait ce qui se passe quand on est ensemble, ce qui se passe à l'intérieur de nous dans ces moments. C'est mon histoire, c'est moi qui la dirige.]

Je me remets doucement de deux grosses énooormes soirées. Deux cuites deux soirs de suite, deux nuits blanches deux soirs de suite.

C'est des moments qu'on n'oublie pas, des verres qui s'enfilent, en tequila Paf, en mojitos et en champagne. La vision devient plus floue, on perd doucement le concept de réalité, notre perception s'altère, et on est presque heureux.
Deux nuits à rire, à danser, à sauter sur "So what", crier sur "Ca fait mal" et à embrasser sur "Right Round".
Mademoiselle devient folle avec ses amis intimes.
C'était naturel, il m'a pris dans les bras, j'étais dos à lui et me frottait gentiment, et il m'embrasse dans le cou, je ne contrôle pas, je penche ma tête et il m'embrasse. A ce moment, il n'y a que nous.
J'insiste, passe sa main sur mes seins pour qu'il n'ait plus envie que de moi. Et il y aura ce sourire sur ces lèves qui indiquera que j'ai réussi.
Sa copine est à quelques mètres mais elle ne voit rien. Elle est aveugle et stupide.

Il y a aussi des moments qui serrent le coeur, j'étais tellement défoncée que j'ai appelé mon ex pour lui dire que je l'aimais encore, ma copine pour ne rien lui dire, j'me suis "battue" avec un pote pour déconner et j'étais totalement bourrée, j'ai cassé mon portable.
(Je mesure le sensationnel d'une soirée aux choses cassées et aux bleus sur les bras.)



Et je ne l'oublie pas ma princesse, elle m'a redonné confiance, elle m'a fait rire et vivre.
On entre, on claque des bises de tous les cotés, on boit, on danse, on retrouve certaines personnes et on rit, on parle, on profite.
Je me retrouve sur ses genoux, à l'embrasser comme pas permis, à malaxer son corps, il n'y a qu'une cinquantaine de personnes à côté de nous, on se contient et il y a tellement plus.. On fait du toboggan sur les escalators à Nation à 6h30 du mat' un dimanche. On fume dans le métro et l'annonce passe "Nous vous rappelons que c'est un endroit strictement non fumeur, vous encourez une amende de 68e et blabla..", mais on n'écrase pas la clope, et on est presque seules, alors elle m'embrasse et me plaque sur un mur..



She could be my happy ending.
Ecrit par JennyBitch, à 01:49 dans la rubrique "Actualités".
Lien permanent 2 commentaires


Dimanche 08 Février 2009
[Parenthesis]
I'm gonna smash you, destroy you, kill the little happiness you may have, you're going to suffer, you're going to cry and supply me to stop.
I'm going to kill you like you killed us, i'm gonna take your head and I will blow it up against the wall, you'll bleed, and yell as strong as you can.
I'm gonna make you the worst, you'll tear off my heart to I cease this free pain I inflict you, you will not be able to even talk so much the pain will twist your stomach. I'm gonna hit you straight between the eyes.
Destroy your body, I don't care in fact, I want to destroy you psychologically until you supply me, you're gonna weep and weep, again and again until you'll not have any tears, you'll maul yourself behind me to I stop. You'll suffer and dying away.

And I'll smile, smile of your degradation, et I'll leave, letting you dying on the floor.

How did we get there?_
Tell me, I really want to understand.

Ecrit par JennyBitch, à 23:09 dans la rubrique "Actualités".
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You spin my head right round, right round ..
Me revoilààààà, j'vous ai manqué hin? (ou PAS.)

"Aimer quelqu'un qui nous aime, c'est tellement narcissique."
[F.B.]

Le célibat me va bien au corps mais deux mois, ça commençait à être long.
Ce n'est pas le fait d'être aimée qui me manquait, ça je le trouve dans les bras des mecs d'un soir, mais c'est d'aimer quelqu'un.
J'ai besoin de ça, j'ai besoin de me battre pour quelqu'un, me lever le matin et de penser à elle.
Sous mes airs pragmatiques, crus, durs, coeur-de-pierre, j'suis une grande romantique, non pas en manque d'amour mais en mal d'amour, j'ai besoin de quelqu'un à aimer.

Elle m'a fait l'amour.
Ca fait des mois que je n'avais pas fait l'amour.
Je savais baiser. Faire l'amour, c'est plus difficile.
Elle m'a respectée jusqu'au bout.
Elle a sourire qui tue tout, elle a des yeux rieurs, elle m'écoute, elle fait attention à moi. J'avais oublié que l'amour allait dans les deux sens.
Elle m'a embrassée pour la première fois dans les escaliers d'un bus pour que ce soit peu commun.
Dans la chanson "Right Round", elle prend une voix aiguë, comme moi, pour chanter "Down down". Elle coince aussi son pierçing de langue dans les pailles du macdo.
Elle m'a offert un verre, cocktail "Love."
Elle m'a dit "J'ai craqué pour toi" en me regardant droit dans les yeux.
Elle a ri à mes conneries.
On a déjà commencé à penser à comment appeler notre future fille et penser à acheter une voiture familiale l'A8 (malgré mon amour pour l'Audi TT, mais qui n'est malheureusement pas une voiture "familiale" -__-)
Une complicité commence à se créer.

C'est reposant, pas de douleurs au premier jour, pas de sens unique, juste une excellente soirée/journée, partagée.

She spins my head .. when i go down, when i go down down..

Ecrit par JennyBitch, à 01:51 dans la rubrique "Actualités".
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Mercredi 21 Janvier 2009
A chance to be heard - You've got to save the World
Pourquoi nous on s'en sortirait pas?

30 mn de sexe, deux heures à parler.

Je me suis mangée une des plus grosses claques de toute ma vie.

Il parlait, ses mots résonnaient à l'intérieur de moi.
Il me racontait ses aléas, son aventure me tranchait la gorge.
Ses paroles déchiraient doucement mon âme, j'étais hermétique à toute pensée et il est passé sous ça.
Il a davantage pénétré mon coeur que mon corps.
Il m'a presque torturée, j'lui ai même demandé d'arrêter en révélant un de mes plus grands secret ô combien jamais dévoilés, je suis émotive.
Mais il a continué, laissant quelques détails sanglants, et prenant avec lui le reste de féérie que j'avais en moi.
Il m'a arraché mes maux avec ses mots, il a éclairci ma route.

"Maintenant que tu sais tout ça, tu peux me comprendre?
- Sincèrement? Non.
- ?
- Regarde où tu es, regarde où j'habite, aperçois ma vie. J'ai des problèmes de petites blanches bourgeoises qui n'ont pas de problèmes. Je peux comprendre avec ma tête mais jamais je comprendrais avec mes tripes."

Et je crois qu'en fait, si. C'était viscéral comme sensation.
Un moment violent, tranchant, piquant après un moment prenant, pénétrant, gémissant.
J'ai trouvé plus profond que le sexe.

C'est dingue comment une conversation vous bouleverse tout votre être.
Et je lui dis MERCI.
Tenons le bon chemin.

Je vais bien.

Ecrit par JennyBitch, à 01:43 dans la rubrique "Actualités".
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Mercredi 14 Janvier 2009
Chut! Don't tell anyone.
Y'a des choses dont je ne parle pas.
Surement pask' c'est dans l'ordre des choses, surement pask' ça ne me semble pas important.

J'aime pas mon lycée, j'aime pas les gens qui sont dedans, j'aime pas devoir tracer ma route quand j'y vais, j'aime pas devoir me garer à l'endroit stratégique  où les voitures ne brulent pas, j'aime pas ma banlieue. J'aime pas qu'on soit une ZEP. J'aime pas me dire que je suis encore au lycée, surtout ce lycée.

Quand mon père est énervé, il fait trembler les murs.

Ma mère ne sera jamais fière de moi. Quand elle me parle, 90% des fois, c'est pour me faire des reproches. Elle est d'une exigeance tranchante. Ca passe ou ça casse. Pour ma part, c'est cassé.
Quoique je fasse, ce n'est jamais bien à ses yeux.
J'ai hâte que tu partes - Tu es impossible à vivre.

Mon frère est la seule personne qui me fasse vraiment peur et pour qui j'ai du respect.
La seule personne qui sache me faire fermer ma gueule d'un regard.

Seules les personnes qui me sont très proches savent comment mon père peut être derrière sa gentillesse.

Personne ne comprend pourquoi moins je suis chez moi, mieux je me porte.
Ecrit par JennyBitch, à 00:23 dans la rubrique "Actualités".
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Dimanche 11 Janvier 2009
It could be worst
C'est pas que je vais mal hin.

Je suis juste en pleine remise en question.

Ecrit par JennyBitch, à 20:03 dans la rubrique "Actualités".
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